mercredi 2 avril 2014

Ne ratez pas l'expo qui commence ce vendredi 4 avril. Dominique Talbot est sculptrice et ses oeuvres sont à son image: finesse et élégance. Son installation est des plus soignée et ciselée. 
Philippe Saenen est photographe et nous  emmène sur les terrains de ses découvertes. On est avec lui, à ses côtés et  on admire ses agrandissements ou ses séries. 
C'est une expo de grande qualité à laquelle nous vous invitons. Vernissage ce 4 avril à 18h30. Réservez vos tables si vous souhaitez souper.
Par deux fois ces derniers temps, Marlène m'a préparé des calamars dans leur encre. La première fois en entrée, la seconde avec des pâtes. Pour ce faire, elle cuisine  un encornet. Sublime. Dju que c'est bon. Nous nous sommes dit que nous n'avions pas le droit de ne pas vous le faire découvrir. Donc c'est pour après les vacances de pâques. 
Nous serons fermés du mardi 8 avril au jeudi 10 mais vous accueillerons dés le vendredi 11 avril, le soir uniquement. Nous allons partager ces trois jours avec nos petits enfants adorés.
Marlène s'est déchiré un ligament à l'épaule gauche. Celle qu'elle utilise pour tenir ses poêles. Cata. On ne sait pas comment on va s'en tirer. Mais pour le moment, le plaisir de vous servir est plus grand que le fatigue.
Allei. A très vite

mardi 18 mars 2014

gnocchis aux pommes de terre vitelotte

Les pommes de terre vitelottes sont ces petites pommes de terre à la peau noire et qui tirent franchement vers le bleu à l'intérieur. Je me suis dit que ce serait bien de mélanger des vitelottes aux pommes de terre normales et que cela donnerait des gnocchis colorés. Le résultats fut à la hauteur de mes espérances avec des gnocchis marbrés, fermes et néanmoins légers. Je suis toujours un peu perplexes quand je mets mes gnocchis à table, cela me paraît parfois trop rustiques et populaires et pourtant, comme moi, les invités adorent et en redemandent.
Ma mère se levait toujours très tôt quand, le dimanche, elle avait décidé de faire des gnocchis. Evidemment, quand elle en faisait, c'était à une autre échelle que moi: nous étions six enfants dont quatre grands garçons, mon grand père se joignait à nous le dimanche et souvent l'un ou l'autre oncles et tantes qui savait qu'ils se mettaient à une des meilleures tables des environs. Bref, ma mère se levait tôt et quand j'en étais averti, j'adorais me lever aussi et l'aider à faire ses gnocchis. Elle travaillait à l'oeil et je fais pareil. Je crois que mes gnocchis sont très proches des siens. Voici comment je fais. Je cuis les pommes de terre en chemise. Pour 4 personnes, un bon demi kilos ou un peu plus. Je les cuis la veille, c'est plus simples. Je les pèle une fois cuit et les passe au presse purée. J'étale sur la table la purée, sale et rape une bonne demi noix de muscade. Je mets un oeuf entier et je mélange.J'ai préparé Un demi kilo de farine à côté de moi et ma planche à gnocchis est elle aussi farinée.. (Je l'ai depuis plus de vingt ans et elle ne sert qu'à mes gnocchis, elle mesure 1m sur 50cm). J'ajoute dans ma purée de"ux trois bonnes poignées de farine et travaille la pâte. J'ajoute la farine au fur et à mesure et quand cela ne colle plus, je commence à la rouler pour en faire un boudin. L'objectif est de faire des boudins de maximum 1cm de diamètre. Pour cela je dois prélever des morceaux sur le boudin trop gros et rouler sans essayer d'étirer. Quand j'ai mon boudin je coupe des gnocchis d'un cm et demi et les étale sur ma planche farinée.. Je laisse reposer une demi heure minimum. Je fais ma sauce pendant ce temps(dimanche dernier, c'est Marlène qui a fait une sauce aux quatre fromages absolument délicieuse. Ma mère faisait elle, une sauce tomate au ragoût. Je vous en parlerai une autre fois) et je mets bouillir une grande casserole d'eau salée. Quand l'eau bout, je prépare un plat dans lequel je mets un fonds de sauce, je jettes des deux mains les gnocchis, un à la fois dans l'eau et dés qu'ils remontent à la surface, je les retire à laide d'une écumoire et les mets dans leur sauce. ça va assez vite et en maximum six à sept minutes tous mes gnocchis sont prêts. Dimanche, nous l'avons mangé en primo piatto suivi d'un gigot aux herbes dont je vous parlerai à l'approche de Pâques. Les gnocchis étaient succulent et les invités ont fait en sorte qu'il n'en reste pas un seul pour ma soirée. Je n'ose toujours pas mettre les gnocchis à la carte, non pas que je ne sois pas sûr de leur réussite, mais je ne vois pas comment s'en tirer en cuisine au moment du coup de feu. Peut être devrions nous penser à faire une soirée gnocchis limité le nombre d'invités et les inviter en cuisine pour qu'ils voient comment faire. Entretemps, si besoin de plus d'info, demandez le moi à mario.gotto@gmail.com.
Allei, bon appétit et à très vite.

mercredi 12 mars 2014

Deux nouveautés à Bruxelles

Cette semaine de congé nous a fait un bien fou. Nous ne sommes pas partis en voyage, nous avons dormi, profiter du soleil dans notre jardin et...quand même fait deux excursions à Bruxelles. Deux belles surprises:
je ne suis pas amateur de moto, je n'en ai jamais fait, mais nous avons quand même été visité ce nouveau magasin galerie de moto ancienne, à la rue Haute (en face du bar à vin au 198, rue Haute. nous y avons mangé, le vin est excellent et les plats originaux mais Marlène a été déçue de son maquereau et moi de ma joue de boeuf dont c'est pourtant la spécialité de la maison. Mais comme il vaut mieux éviter d'être impitoyable la première fois que l'on teste un  restaurant, allez-y et vous me dites quoi. c'est au 198, rue Haute) Bref, revenons à nos motos, il y a là une trentaine de moto plus ancienne les unes que les autres, toutes fonctionnes, y compris une grosse peugeot avec un plateau à l'avant et deux roues donc. Les prix ne m'ont pas semblé excessif, par exemple 3200€ pour la peugeot dont je vous parle. 
Par contre, la photographie m'a toujours intéressée. Et là, nous avons fait une découverte fabuleuse, un type qui s'est installé dans une bout de quartier en devenir (j'ai oublié l'adresse mais pour y aller, au sortir de la gare centrale, vous prenez le boulevard de l'Empereur et juste avant le PS, vous tourner à droite, vous descendez et vous allez trouver un carrefour de 5 ou 6 rues. Il s'y passe plein de choses, resto, bar, boîte cubaine, magasin café et thé et...un musée de la photo.) Ce type donc fait des photos en utilisant toutes les techniques existantes depuis le début de la photographie, y compris le daguerréotype. Il peut donc vous tirez le portrait sur une plaque de verre, le résultat est magnifique et sur base de cela, il peut vous en faire des cartes postales ou des posters. Il vend les pellicules anciennes pour tous type d'appareils et vend aussi toutes sortes d'appareils anciens, en état de marche bien entendu. On se demandait avec Marlène si ça marchera (il vient d'ouvrir), mais on lui souhaite. Il est vrai qu'aujourd'hui, on fait énormément de photos, mais plus de réels portraits et si on en fait, rare sont ceux qui les développent sur papier. Je trouve que c'est dommage de perdre cela. Je vais donc y aller avec chacun de mes petits enfants et moi même j'irai faire mon portrait (ça prend une demi heure et c'est sur RDV). Si cela vous intéresse, dites le moi ( matrio.gotto@gmail.com) et je vous donne les coordonnées. Je vous écrit du resto et j'ai laissé l'adresse à la maison.
Allei, caldo madrileno aujourd'hui en plat du jour. Nous aurons de l'onglet ce WE. Je vous laisse car je vais sortir une petite terrasse, le soleil est magnifique.

mardi 25 février 2014

quelques nouvelles et des vacances

les vacances de carnaval approchent et quelques jours de repos vont nous faire le plus grand bien. Nous serons bien sûr ouverts cette semaine et ce vendredi et samedi. Ensuite, congés-repos du 2 mars au 10 mars. Réouverture le mardi 11. Nous n'avons pas encore de destinations, sauf quelques restaurants que nous avons gardé dans nos cartons. Et si nous sommes bien reposés, sans doute un jour ou deux d'excursions.
Como en casa  tourne bien. Les deux jours les plus calmes sont les mardis et mercredi midi. Les jeudis et vendredis midi montent en puissance et les vendredi et samedi soir sont toujours de grosses ou de très grosses soirées. C'est toujours gai et même exaltant de lancer un projet et constater qu'il marche.
Nous commençons aussi à recevoir de plus en plus de groupes... flamands. Grâce à l'émission Vakantie Vlandere. Cette émission doit être très suivie et cela nous va très bien.
Je viens de terminer la lecture de "Les Yeux dans les arbres" de Barbara Kingsolver. Le Congo des années soixante jusque nos jours. Moi qui ait été proche du Comité Zaïre (anti mobutiste),cela m'a rafraîchit la mémoire. Très bien écrit et poignant comme histoire; Merci à Luc Toussaint qui m'a passé ce livre.
En parlant de mon ami Luc, une autre histoire austérienne qui m'est arrivée: Luc m'envoit pas mail une copie d'une pub pour un guérisseur,capable de redresser les sexes tordus, de résoudre les problèmes d'impuissance, de faire des opérations chirurgicale à distance, de guérir les catactes (sic) et de faire démarrer des motos russes...
Je montre cema à mes commis de cuisine parmi lesquels il y a Benjamin qui vient de Côte d'Ivoire:"he, mais je le connais ce type!!mais oui, il vient de Kilongo, regardes c'est écrit, c'est mon village, j'habitais juste près de chez lui...
Allei, de Côte d'Ivoire, passer par le Burundi, arriver à Liège, à Como en Casa....


lundi 3 février 2014

Janine et Gaby exposent à Como en Casa

Je me suis vengé de mon ORL. Vous vous rappelez, celui qui m'avait si mal accueilli!! J'ai passé ma visite de contrôle pour vérifier que les appareils qu'on m'a posé fonctionnaient bien et me convenaient. C'est oui, même si j'attends mal le son de la télé. Il paraît que ça viendra. Pendant que l'ORL remplissait les papiers, je lui ai demandé par surprise, tiens, vous n'en avez pas marre de regarder les trous d'oreilles toute la journée? Il a rougi et accusé le coup. Bah, il y a pire quand même. Regardez l'urologue, vous croyez que c'est mieux? Et le gynécologue, c'est pas terrible non plus, hein! Quand même, gyneco, y a des bons moments, non? Lui dis-je? Oui mais il doit s'occuper des vieilles comme des jeunes. Et gériatre, c'est pas mieux non plus hein, examinez des vieux du matin au soir...Non après tout je suis content, j'ai pas choisi le pire...
Bon mais comme métier, je préfère ma salle et ma cuisine.
J'ai eu le cafard hier soir en refermant Confiteor, ce livre extraordinaire que Jaumé Cabré, un catalan, a mis sept ans à écrire. Un prouesse. On est un peu désarçonne au début vu que l'auteur s'muse à passer de la troisième à la première personne, à passer du vingtième au 17 ième siècle dans la même phrase et pourtant on s'y retrouve, c'est passionnant, touchant, émouvant, avec des histoires atroces liées à la Soah On le lit autant pour l'histoire que pour le style. On n'a pas envie de le finir et déjà Adria Artveol, Sarah, Laura, Lola Xyca et Bernat me manquent. Je crois que je ne resterai pas longtemps sans le reprendre. Si Olivier me lit, il peut me préparer deux ou trois livres de Jaumé Cabré.

Bon, vernissage à Como en casa

Gaby Wilmotte et Jeannine Nouwen ont choisi d’exposer ensemble.
Le point commun entre les deux artistes est d’explorer le figuratif jusqu’à l’abstraction. Chacune, à partir de techniques différentes, s’intéresse au mouvement et à la vibration des cou-leurs.
Jeannine Nouwen peint sur bois, et utilise une technique ancienne avec un remarquable sens du détail valorisé par le gros plan.
Gaby Wilmotte, d’un trait incisif, dans ses tableaux aux techniques mixtes, exprime l’énergie et la corrélation entre végétaux et corps humains.

Le vernissage a lieu ce vendredi 7 février dés 18h30. 

Pour le souper, outre notre carte habituelle, vu que nous recevons l'équipe de camera etc. pour sa choucroute annuelle, il y aura de la choucroute pour qui veut bien la réserver. Elle sera design, à 20€. par mail à mario.gotto@gmail.com ou téléphone au 042320004
Allei, comme on a dit

lundi 20 janvier 2014

les croquettes de l'hôtel Métropole

Nous avons passé une belle soirée ce dernier jeudi, avec Juana, une amie de longue date de Marlène. Elles se sont connues et ont vécu leur jeunesse à Bruxelles; Elles ont donc des tas de souvenirs à ressasser. Juana nous a expliqué sa façon de faire des croquettes de crevettes. C'est une recette qu'elle tient de son père, ancien cuisinier à l'hôtel Métropole au centre de Bruxelles. Juana et ses soeurs y avaient le droit d'entrer par la porte de services, et comme elles étaient de jeunes et jolies espagnoles, elles étaient gâtées par l'ensemble du personnel qui leurs donnaient régulièrement des tickets gratis pour aller prendre un verre au Grand Café près de la bourse, qui appartenait au même propriétaire. C'était dans les années septante, le Grand Café servait de grandes tartines couvertes de maquées, de tranches de radis et de ciboulettes fraîche (je regarde régulièrement la carte quand je passe dans les environs de la Bourse et je crois bien qu'on sert toujours des tartines à la maquée. Accompagnée d'une gueuze, c'est délicieux). Notre échange s'est ainsi poursuivi sur le vécu de ces immigrés espagnols des années soixante et septante, dont une majorité s'était installé à Bruxelles ou dans d'autres grandes villes. Beaucoup de femmes ont travaillé à l'époque comme employées de maison et ont ainsi découvert la vie bourgeoise de l'intérieur. Elles ont appris à utiliser les Chanel de leur patronne, ont hérités de leur vêtements griffés, ont fréquentés des invités célèbres du monde du cinéma, des banques, de la vieille aristocratie etc. Marlène s'occupait à l'époque d'organiser ces employées de maison pour qu'elles obtiennent des droits, des jours de repos, mais aussi pour qu'elles se rencontrent, échangent entre elles, partent en excursion découvrir Bruges, Ostende etc. Voyez si vous le pouvez ce film, "les femmes du 6ième étage", c'est une représentation fidèle de la vie de ces employées de maison. Nous avons connu dans ce même mouvement Mary Arrondo, employée de maison à Paris et qui avait été l'invitée de Bernard Pivot à Apostrophe pour son livre "Moi, la Bonne".
Juana n'était pas une bonne, mais son père était cuisinier au Métropole et le Métropole lui a ouvert tout un monde dont elle n'a retenu que le bon côté. Nous avons passé une belle soirée rigolote et sommes bien décidés à mettre les croquettes de crevettes à la carte. C'est dans la foulée qu'il m'est arrivé un épisode austérien ( nombre de bouquins de Paul Auster tourne autour du thème du hasard et des coïncidences). Bref ce samedi soir, c'est à dire le surlendemain de notre soirée avec Juana, notre ami Jean Luc vient fêter son anniversaire à Como en Casa avec sa femme et un de ces fils. Comme ça fait un bail qu'on ne se voit pas, nous parlons de tout et comme Jean Luc est toujours très intéressé par l'Espagne, je lui raconte la soirée avec Juana, surtout pour souligner la chance qu'on eu les espagnols de fréquenter des milieux auxquels le commun de mortel n'a généralement pas accès. Et que me dit Jean Luc? : "ah, hôtel Métropole, croquette de crevettes!!je ne vais jamais à Bruxelles sans passer manger mes croquettes de crevettes au Métropole". Je n'en revenais pas, je vous jure que je n'ai pas parlé des croquettes de crevettes de Juana et de son père, cuisinier au Métropole. Jean Luc lui-même n'en revenait pas de cette coïncidence. Jean Luc est un fidèle de Como en Casa mais ça faisait des mois qu'il n'était venu du fait de ses voyages à l'étranger et de ses nombreuses occupations. Je pense bien que Juana n'a plus passer une soirée à la maison depuis septembre dernier quand sa fille est venue d'Espagne. Et voilà qu'à deux jours de distance, une rencontre a lieu qui rassemble le père de Juana, ses croquettes et Jean Luc. Le père de Juana est décédé il y a deux ans. Il avait nonante ans et était retourné en Espagne fin des années septante, après la mort de Franco comme beaucoup d'espagnols de l'époque. Jean Luc a mangé ses croquettes de crevettes et ils n'auraient jamais du se rencontrer. Mais voilà, c'est fait.
Bon, à part cela, la vie suit sont cours à Como en casa. Le Vol au vent aux épinard a eu un succès fou durant toute la semaine. C'est un plat qui a tout du vol au vent, les feuilletés, le poulet, la béchamel, mais nous avons remplacé les champignons par des épinards. C'est Marlène qui avait sorti cela un dimanche à l'improviste et voilà. Ne parlons pas des penne à la sauce de légumes verts et fromage. Une tuerie comme dirait l'autre. Dés ce mardi, nous aurons an plaisir du jour une lasagne au saumon et épinard. Les vendredi et samedi soir, je crois bien que notre resto est le plus gros consommateurs de couteaux de mer et de mi-cuits de saumon au raifort et wasabi.
Allei, j'ai plein de paperasses à mettre en ordre. La semaine prochaine, je vous parle de nos prochaines expos.

vendredi 3 janvier 2014

bonne année et vive Lady de Nantes

Lady de Nantes a mis le feu al baraque, comme on dit dans le Hainaut (est-ce que cela se dit à Liège?). Quelle ambiance, surtout le samedi avec Les musiques de film et de série. C'est à minuit que cela s'est échauffé avec ce jeu dont j'ai oublié le nom anglais (on passe le début du morceaux et il faut deviner le titre). Quelle ambiance. Du délire. Avec en plus des jeunes femmes complètement folles qui connaissaient tout. On a stoppé à 3 heures du matin. Heureusement que quelques jours de congé nous ont permis de récupérer.  Bon c'est promis, on remettra cela si la Lady daigne revenir..
 Voilà, nous sommes en pleine forme après quelques jours en Espagne, pour vous souhaiter une très bonne année à vous et à vos proches. Réalisez vos rêves, personne ne le fera pour vous. Tous vos amis sont certainement prêts à vous soutenir et vous encourager, mais tous les bons voeux du monde ne changeront rien à cette règle: le possible dépend de nous-mêmes.?
Nous redémarrons ce vendredi dés 18h30 et samedi aussi. Dés mardi 7 janvier, nous reprenons nos horaires habituels. Avec durant le mois de janvier des connotations festives à la carte.
Ce vendredi par exemple, risotto au safran et cabillaud...
J'ai plusieurs lectures en cours dont "Confiteor". Quel bouquin mes amis!!!époustouflant. Courez l'acheter au Livres au trésor. C'est Olivier qui me l'avait conseillé.. Une lecture littéralement jouissive..
Allei, à la semaine prochaine.