dimanche 23 avril 2017

Il faut que tout change pour que rien ne change

J’ai pris énormément de retard dans mes travaux en raison d’une grippe, petite mais méchante. Je ne ferai pas ma chronique habituelle, mais je voulais quand même vous saluer et vous faire part de ce que m’inspirent les résultats de l’élection présidentielle française.
Dans son unique roman, « Le Guépard » Giuseppe Tomasi di Lampedusa, raconte les états d’âme d’un vieil aristocrate au moment de la révolution italienne et du débarquement des troupes de Garibaldi en Sicile. A moment de s’engager dans les troupes révolutionnaires, Tancredi, neveu et pupille très aimé du vieux prince, révèle son calcul et sa vision des événements politiques à son oncle : selon lui, il n’y aura qu’un simple échange de pouvoir entre l’aristocratie et la bourgeoisie montante. « Vous comprenez mon oncle, il faut tout changer en apparence pour que rien ne change ».
A part cela j’ai inauguré ma nouvelle chittara à spaghetti. Que meraviglia !!!

Allei, à la semaine prochaine.

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